S’il y a bien un modèle qui a révolutionné l’image de On aux yeux des runners du monde entier, c’est bien la Cloudsurfer ! Sortie en mars 2023, On s’est propulsée en haut de la scène internationale du running en dévoilant une nouvelle technologie, le CloudTec Phase. Une technologie qui se situe au niveau de la semelle intermédiaire et qui permet d’avoir un déroulement du pied optimal et donc d’apporter une douceur incroyable pendant le run. Deux ans après sa sortie, la Cloudsurfer voit sa nouvelle version être dévoilée au grand jour. C’est d’ailleurs la grosse sortie de l’année pour la marque suisse, le confort avant tout !
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Après avoir survalidé la première version, il est temps de vous dire si c’est aussi le cas pour la Cloudsurfer 2 !
Descriptif du testing :
J’étais impatient de mettre mes pieds dans la dernière innovation de la marque suisse. La Cloudsurfer (première version) m’a accompagné pendant plus de 1200km donc je peux vous dire que je l’ai plus que validée.
Dès que j’ai enfilé la Cloudsurfer 2, j’ai tout de suite senti une différence, la semelle intermédiaire est un peu plus ferme. Par contre, s’il y a bien quelque chose qui ne change pas, c’est le confort. Je ne vais pas spoiler le test mais tout de suite on se sent bien maintenu et le pied est parfaitement englobé.
Séances réalisée :
- Footing 35′
- Footing 1h avec 4km à 15km/h
- Footing…
Confort
Note :
(10/10)
C’est le gros point fort de cette paire. Déjà, lorsqu’on prend cette paire en main, on peut tout de suite voir qu’on va se sentir bien. Le mesh est très doux et la construction autour du laçage est plutôt intéressante. Comme vous pouvez le voir, les lacets ne passent pas dans des oeillets (au niveau de la partie supérieure) ce qui permet d’éviter d’avoir des points de compression au niveau du cou de pied.
La languette est toujours rembourrée et ça permet de ne pas avoir de douleur au niveau du coup de pied même avec un laçage efficace. En parlant de rembourrage, le col qui entoure la cheville permet de ne pas avoir de frottement désagréable au niveau du tendon d’Achille.
Dynamisme
Note :
(7/10)
Si vous cherchez une paire plutôt dynamique, je vous arrête tout de suite, ne partez pas sur une Cloudsurfer. Une Cloudmonster 2 ou une Cloudmonster Hyper seront bien plus adaptées pour des efforts comme ceux-la.
Ici, l’amorti est trop moelleux pour faire des 30’30’ aux alentours des 20km/h. Attention, je parle ici de mon ressenti et par rapport à mon niveau. Si vos séances de vitesse se situent aux alentours des 4’30/km, cette Cloudsurfer sera sûrement parfaite pour vous.
Par contre si vous avez testé la première version, je peux vous confirmer que cette deuxième est un peu plus réactive, la mousse étant plus dense, elle renvoie un peu plus.
Amorti
Note :
(10/10)
À ce jour, c’est la chaussure de On qui propose l’amorti le plus moelleux. C’est un véritable plaisir à chaque foulée. La technologie CloudTec Phase permet de dérouler parfaitement la foulée et on ne sent pas d’impact au sol. En soi, si vous cherchez une paire avec un amorti juste parfait, vous pouvez opter pour la Cloudsurfer 2.
Comme chaque modèle de la marque suisse, j’attends toujours environ 80km pour me prononcer sur l’amorti de la paire. Lors des premiers footings, je me suis dit que l’amorti était moins bien qu’avant, un peu trop ferme à mon goût. Au final, il est devenu incroyable au bout de 60km ! Toujours un gros plaisir de courir avec.
Stabilité / Maintien
Note :
(10/10)
La marque a amélioré son système de maintien au niveau du laçage. Des renforts en TPU ont été ajoutés sur les côtés des lacets pour améliorer ce maintien et ça se sent. Que ce soit dans les virages ou sur des chemins, le pied ne bouge pas !
La stabilité est plutôt bonne. Que ce soit sur route ou chemins, je n’ai pas rencontré de souci particulier.
Adhérence
Note :
(9/10)
Les empiècements en caoutchouc ont été modifiés et continuent d’apporter une très bonne adhérence. Sur les chemins et routes sèches, il n’y a pas de souci mais lorsque la route est humide, il peut y avoir une petite sensation de glissade mais rien d’alarmant et c’est seulement quand on met un peu d’intensité.
Rapport qualité/prix
Note :
(8/10)
Je trouve que pour une paire polyvalente confortable, elle va se trouver dans la fourchette haute par rapport à ses concurrents. On peut la comparer à une HOKA Clifton 9, une Nike Vomero 18 ou encore une Magnify 2 de chez PUMA et tous ces modèles sont moins chers et se situent autours des 150€. C’est pourquoi je pense qu’elle pourrait être un tout petit peu moins cher mais bon On se veut (et est) être une marque premium et la qualité de ses produits se fait sentir.
Verdict
Vous l’aurez compris, cette deuxième version est une vraie réussite. On a imaginé la Cloudsurfer pour être la représentation même du confort et ça marche. Elle l’est sur le plan théorique avec sa campagne Soft Winds ou elle met l’accent sur la douceur et le confort de la paire. L’objectif est de faire connaître la marque au grand public et quoi de mieux que de la faire avec la Cloudsurfer. Je ne connais personne qui ait été déçu de cette paire.
Sur le plan pratique, dès qu’on met le pied dedans on est tout de suite conquis ! La sensation de courir sur des nuages n’a jamais été aussi présente.
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