Née en Bretagne, la jeune marque Valone s’inspire des montagnes et des sentiers exigeants. Pour les fondateurs, la marche et la course sont les moyens les plus instinctifs de se connecter à sa liberté. C’est de ce constat qu’est partie la marque pour créer son premier modèle de chaussures, la RAVE. Une chaussure durable et réparable vendue uniquement sur pré-commande.
Une chaussure respectueuse
L’idée de base, lors de la création de la RAVE, première chaussure de la marque, était de créer une paire réparable. Pour rendre cela possible, le choix de la semelle intermédiaire s’est portée sur l’EVA de la marque Vibram, qui a la particularité de pouvoir être réparée. Pour encourager les utilisateurs à allonger la durée de vie de la chaussure, la marque bretonne a tissé des liens avec de nombreux cordonniers qu’elle met en relation avec les acheteurs. Le prix d’une réparation serait d’environ 70 €.
Pour aller encore plus loin, Valone travaille uniquement avec des partenaires européens, permettant de limiter les déplacements de la chaussure lors de la fabrication. La seule partie de la chaussure à venir d’un autre continent est la semelle, car la marque italienne Vibram les fabrique en Chine.
Légères et performantes
Avoir des chaussures durables n’empêche pas d’avoir des chaussures performantes. La mousse EVA utilisée dans la semelle intermédiaire est bien connue de tous les coureurs pour ses bonnes performances, et avec Vibram, la semelle extérieure déçoit très rarement. Pour l’empeigne, la Valone Rave bénéficie du Dyneema, un matériau à la fois très léger et respirant. Des renforts en TPU ont été ajoutés pour offrir plus de maintien et de résistance à la chaussure. Le tout offrant une chaussure à 240 g.
Hommage à la Bretagne
Pour le design, la marque s’est appuyée sur des professionnels réputés dans le milieu du trail : All Triangles. Ces derniers collaborent notamment avec The North Face. Le modèle n’était disponible qu’en précommande, pour éviter les pertes, et en deux coloris. Le premier est blanc et le second violet, mais tous deux prennent racine dans les roches qu’on retrouve sur les sentiers bretons.
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